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Best seller Amazon au titre audacieux, vous avez sûrement déjà entendu parler de cet ouvrage d’Olivier Roland.
Si ce n’est pas le cas, une brève présentation s’impose.
Olivier Roland est un entrepreneur français à forte notoriété.
Ce dernier s’est notamment fait connaître en lançant son blog « Des livres pour changer de vie ».
Pour la faire courte: Olivier Roland est un Blogueur / Entrepreneur / Youtubeur français.
Olivier Roland publie le livre « Tout le monde n’a pas eu la chance de rater ses études » pour donner à ses lecteurs les clefs pour réussir en dehors du système en se lançant dans la vie entrepreneuriale.
Cet article a 2 objectifs: vous en résumer le contenu et vous donner notre avis.
Au cours de ce préambule, Olivier Roland met l’accent sur la première notion du livre.
Le « bon scepticisme », qu’il décrit comme l’aptitude de tester une nouvelle méthode pour se faire son propre avis, plutôt que de préjuger celle-ci.
Cette compétence est selon lui essentielle à tout entrepreneur digne de ce nom.
Et en effet, dans tout domaine, il existe une infinité de méthodes de fonctionnement différentes.
Remettre en question les normes en place depuis longtemps et tester de nouvelles approches devient alors un comportement essentiel à l’ouverture d’esprit et au développement de toute activité.
Trop de personnes font preuve de scepticisme, ce dernier les empêchant d’avancer ou de se lancer.
Connaissez-vous la loi de Pareto ?
20 % du travail provoque 80 % des bénéfices.
Olivier Roland souligne l’importance d’identifier et de se concentrer sur les éléments de travail bénéfiques à votre activité, et à déléguer le reste.
Caroline, diplômée d’école de commerce, actuellement hôtesse de caisse à temps partiel.
Un bel exemple que prend Olivier Roland pour nous mettre sous les yeux une évidence: les études sont bien souvent sur-cotées dans l’esprit des gens.
Bien souvent, nous voyons les études comme un choix logique et sécurisant.
Mais en réalité, ce n’est pas forcément la voie optimale, l’image positive que nous avons des études ne provient pas des résultats qu’elles offrent, mais de notre socialisation.
Mais les études ne sont que les prémisses d’une toute autre affaire: celle du salariat.
Olivier Roland nous partage une statistique : en France, 9 % des travailleurs déclarent aimer leur job.
Le salariat permet certes une certaine sécurité, mais est source de désintérêt, de stress, parfois de bas revenus, d’horaires contraignants.
Et pourtant, nous le pensons indispensable à notre survie.
Olivier Roland part du constat suivant: la société change, l’école stagne.
Il identifie alors une catégorie de personne se distinguant de la masse: les « rebelles intelligents »
Ou toutes les personnes ne souhaitant pas suivre le parcours « études → salariat » et souhaitant réellement apporter quelque chose à eux-mêmes ou aux autres.
Et pourtant, Olivier est un fan de l’éducation, mais pas de l’éducation « classique ».
Selon lui, cette dernière manque cruellement de pratique provoquant naturellement des oublis chez les étudiants.
De plus, cette éducation normée a des lacunes en informatique, en anglais et en gestion de l’argent. Celle-ci créé selon lui de « nouveaux analphabètes ».
La véritable éducation passe selon lui par un apprentissage continu et autodidacte.
Vous découvrirez pourquoi dans le chapitre suivant.
« L’école forme actuellement les jeunes à être prêts pour un monde qui n’existe plus » Olivier Roland.
L’éducation classique ne forme qu’à une chose: l’obéissance.
Cela était particulièrement efficace lors de la révolution industrielle où l’objectif était de former des ouvriers.
Mais aujourd’hui, ça n’est plus le cas.
Les recruteurs cherchent, de nos jours, des profils créatifs et autodidactes.
Pourquoi ? Car tous les jours, de nouveaux outils technologiques sont créés et mis à disposition sur Internet.
Ainsi, l’ouverture d’esprit et la capacité d’adaptation sont des qualités auxquelles l’éducation « classique » ferait mieux de former ses étudiants et élèves.
Olivier Roland nous fait aussi part de son scepticisme vis à vis du retour sur investissement de certains cursus académiques (principalement les MBA ou diplômes d’écoles de commerce).
D’un autre côté, les livres sont un excellent moyen d’apprendre des choses passionnantes à bas coût.
À l’école, c’est entre 10 et 20 % des informations qui sont retenues sur le long terme.
Et ce principalement dû au manque cruel de pratique.
Comme dit plus haut, l’école nous apprend principalement à obéir mais ne nous apprend pas à apprendre.
Au cours de ce chapitre, Olivier Roland pointe du doigt un concept intéressant:
L’« intelligence fluide »: l’aptitude à résoudre de nouveaux problèmes et à s’adapter à de nouvelles situations.
C’est ici une compétence fondamentale à tout entrepreneur, laquelle, vous l’aurez compris, n’est pas enseignée par l’éducation classique.
Olivier Roland nous partage aussi 4 pratiques permettant de booster ses capacités cognitives:
En dehors de ces dernières habitudes à mettre en place, s’éloigner des médias traditionnels est aussi une pratique à mettre en place.
Pour quelles raisons ?
Car ces derniers véhiculent de la mauvaise humeur. La peur est en effet une source d’attention et d’engagement considérable pour l’esprit humain.
Ainsi, les médias traditionnels (visant toute la population française) ont tout intérêt à véhiculer ce genre d’information.
Olivier Roland préconise ici d’avoir recours à une « diète médiatique » et de privilégier les informations ciblées et utiles comme les livres pratiques, les podcasts..
Trouver une passion est aussi quelque chose de primordial: votre bien- être en dépend directement.
Cette dernière vous permettra d’avoir accès à ce qu’Olivier appelle votre « feu sacré »: une motivation débordante de faire quelque chose qui a beaucoup de sens pour vous.
Qu’est-ce que la volonté ?
Pour Olivier, il s’agit de notre aptitude à faire des choix utiles nous permettant d’avancer vers nos objectifs.
La bonne nouvelle, c’est que cette compétence peut se développer.
Pour ce faire il est important de savoir différencier 2 concepts:
Le fait étant que notre volonté (ou « voix réfléchie ») est sollicitée au quotidien dans divers contextes.
Si nous voulons la rendre plus efficace, il faudra donc la laisser se reposer de temps en temps.
Pour y parvenir, diverses pratiques s’offrent à nous: la respiration lente, la méditation, le sport, les rituels & habitudes.
Nous pouvons aussi optimiser notre environnement pour la volonté.
Il devient alors obligatoire d’identifier les moments de chutes de volonté au cours d’une journée, c’est en les appréhendant que l’on devient capable de ne pas se laisser déstabiliser par ces derniers.
Ne pas se récompenser en se laissant aller est aussi quelque chose de primordial.
Vous devrez aussi apprendre à réduire votre stress car ce dernier sera votre pire ennemi dans votre projet entrepreneurial.
Même s’il ne faut pas que votre motivation dépende entièrement des autres, avoir un « ami de challenge » peut être un réel facteur de progrès et d’évolution personnelle (surtout si vous vous engagez auprès de celui-ci).
Ne sous estimez pas l’impact que la nourriture peut avoir sur votre volonté: bien manger est quelque chose d’essentiel autant d’un point de vue moral que physique.
Vous pouvez aussi mettre en place des systèmes de productivités.
La dernière solution est d’engager quelqu’un exerçant une autorité sur vous dans le but de vous faire avancer sur votre projet.
Pour apprendre, la première chose à analyser et à améliorer si nécessaire est le sommeil.
Dormir entre 8 et 9 heures est physiologiquement parlant la meilleure décision à prendre, bien que le temps de sommeil nécessaire varie en fonction des individus.
Instaurer des siestes de 20 minutes au cours de vos journées peut aussi être bénéfique.
Olivier Roland nous partage quelques pratiques d’apprentissage:
Il se trouve que pour les 2 dernières astuces, tenir un blog semble être le moyen parfait de les mettre en place.
Pour être libre intellectuellement parlant, construire son intellect est quelque chose d’important.
Vous pouvez y parvenir en devenant autodidacte et en développant votre envie d’apprendre.
De plus, la pratique sur le terrain et la lecture de « livres pratiques » constituent les meilleurs moyens de développer des compétences ainsi que des connaissances dans de nombreux domaines.
Les « livres pratiques » ont eu un grand impact sur la vie d’Olivier Roland.
En effet, ce dernier a commencé par lire « La semaine de 4 heures » et a de suite comprit la valeur que ce genre de lecture pouvait lui apporter.
Il créa ensuite son blog « Des livres pour changer de vie » où il y publia de nombreux résumés de livres de ce genre.
Cependant si l’on ne met pas en pratique les concepts partagés dans ce type de livres, ces derniers ne servent qu’à enrichir notre culture générale. Et ce n’est pas ce dont un entrepreneur a besoin.
Pour cette raison, tester les conseils pratiques abordés dans ces livres est fortement recommandé.
Et si ces derniers sont efficaces, Olivier Roland nous conseille de les transformer en habitudes.
En dehors de ce genre de livres, internet est une réelle source d’informations qualifiées lorsque l’on sait où chercher.
Les MOOC (Massive Open Online Course) sont un bon point de départ.
Pour Olivier Roland, ces plateformes représentent le futur de l’éducation.
Pourquoi préférer l’entrepreneuriat au salariat ?
Pour l’expérience: cela permet d’évoluer dans plein de domaines différents en même temps.
Quand l’on monte un business, on se retrouve responsable de ses différents aspects (technique, communicatif, comptable..).
S’ajoute à cela le fait que cette voie privilégie l’expertise au simple diplôme.
Pour le revenu: le salariat n’est clairement pas (du moins à terme) la meilleure solution si l’on souhaite toucher de gros revenus.
De plus, le revenu que l’on touche via l’entrepreneuriat est le fruit d’une réelle passion et non d’un travail par défaut.
Mais lorsque vous êtes enfin entrepreneur, deux approches s’offrent à vous:
Pour la sécurité: l’opinion commune est celle selon laquelle le CDI serait le contrat le plus sécurisant.
En réalité, ce dernier ne promet pas que vous ne serez jamais au chômage.
Un projet entrepreneurial peut être aussi voir plus sécurisant que le CDI si vous obtenez des revenus récurrents et stables.
Malgré cela, le salariat reste ce qu’Olivier appelle « le piège des pantoufles en ciment »: une zone de confort de laquelle on ne souhaite pas partir.
Pour son rêve: le salariat n’est que le synonyme d’un travail voué à avancer vers le rêve de quelqu’un d’autre.
Quand vous êtes à l’initiative de votre propre projet, c’est le vôtre que vous poursuivez.
Pour l’aventure: créer son entreprise est une aventure excitante et pleine de rebondissements vous donnant la possibilité de concrétiser toutes vos idées.
Le salarié quant à lui, devra obéir aux ordres et sera donc privé de toute liberté et indépendance.
Pour son égalité des chances: devenir entrepreneur, c’est faire le choix de soutenir une cause sans aucune discrimination à l’entrée.
Car n’importe qui peut se lancer sans barrières dans le domaine qu’il souhaite.
Pour conclure: travailler est certes une obligation de notre société, mais nous avons tout de même la liberté de choisir de quelle manière y contribuer.
Le but de ce chapitre est de casser des mythes et des pensées limitantes. Olivier Roland s’attarde donc ici au:
Il identifie aussi 2 types de peur communs à toute personne souhaitant se lancer dans un projet personnel:
Pour supprimer ce deuxième type de peur, Olivier nous conseille de noter tous les éléments négatifs qui pourraient survenir lors de notre création d’entreprise.
Ensuite, nous n’avons qu’à imaginer et noter des solutions possibles à ceux-ci.
Finalement, nous devons estimer quelles sont les probabilités pour que ces événements surviennent réellement.
« Quel est le sens que je souhaite donner à mon entreprise ? »
« Quel entrepreneur je souhaite devenir ? »
Voici le genre de question que vous devrez vous poser à l’issue de ce chapitre.
Car s’il y a différentes manières de créer son entreprise, les raisons pour lesquelles vous le ferez ne bougeront pas.
Olivier nous recommande de construire une « entreprise qualité de vie »: un business automatisé qui vous permettra de gagner du temps libre.
Pour y parvenir, la loi de Pareto est importante.
Elle vous fera vous concentrer sur les activités apportant réellement de la valeur ajoutée au développement de votre activité.
Il y 2 manières possibles de mettre une entreprise à son service:
Selon l’auteur, lorsqu’une entreprise souhaite révolutionner un marché, on ne peut avoir aucun doute sur le fait que celle-ci fait preuve d’une ambition digne de ce nom.
C’est une mission que l’on retrouve principalement chez les start-ups, ces dernières souhaitent bien souvent vendre des produits connus d’une manière qui révolutionne la vie de leurs clients.
Olivier Roland nous rappelle enfin que vendre son entreprise est un moyen de goûter pleinement à la liberté.
Tout le monde a ses préoccupations personnelles, et celles-ci déclenchent 2 types de réponses:
Gardez à l’esprit que seule l’imperfection permet le progrès et qu’attendre la perfection pour se lancer revient à avorter son projet.
Cependant, rien ne sert de se faire des illusions.
Olivier recommande alors à tous ses lecteurs de faire le minimum de sacrifices pour son projet au départ. Y consacrer quelques heures tous les jours en parallèle de ses études ou de son travail est un bon début.
Ce qui va jouer sur la qualité de lancement et de développement de votre activité sera les méthodes que vous emploierez pour ses différents aspects.
Pour s’assurer de mettre en œuvres les bons systèmes, il vous faudra rester à l’affût en:
De manière générale, face à n’importe quelle situation, il est intéressant de « méta-persévérer » et de voir plus grand.
Abandonnez complètement le concept de « chance », car de par sa manière de penser, le bon entrepreneur est capable de la provoquer.
Pour ce faire, voici 3 choses qu’Olivier Roland recommande :
Listez sur une feuille 10 de vos passions, compétences et talents.
Sélectionnez ensuite une passion qui pourrait être la base d’une création d’entreprise et qui est liée à une compétence ainsi qu’à un talent.
Si vous y parvenez, alors vous tenez la base de votre idée d’entreprise.
Ne vous inquiétez pas: si vous avez une passion sans compétence, cette dernière peut se développer.
Dans tous les cas, certaines compétences communes à tout entrepreneur seront à maîtriser.
Et si vous n’avez pas le temps de réfléchir à tout ça, vous pouvez devenir franchisé. Vous n’aurez ainsi que la gestion de l’activité à prendre en charge.
Mais peut-être souhaitez-vous réellement trouver une idée passionnante sans y arriver.
Si c’est le cas, il vous reste alors une option: voyager dans le temps.
Vous voulez voir dans le futur ? Allez aux US.
Vous souhaitez jeter un œil dans la passé ? Trouvez un pays peu développé et rendez-vous y.
Trouver une idée nouvelle nécessite de répondre à une insuffisance.
Pour dénicher ce genre de concept, il est important de prendre en compte le maximum de plaintes auxquelles nous pouvons être sujet.
Une fois que vous avez clairement identifié l’idée à l’origine de votre entreprise, se pose la question des modalités de création.
Premièrement, analysez les chances de succès de votre entreprise.
Le meilleur moyen d’y arriver est de tester rapidement ses hypothèses sur le terrain (concept issu du livre « Lean Startup »).
Cette dynamique ne coûte pas cher et permet d’obtenir des feedbacks de manière rapide.
Bonus: cela vous permet aussi de constituer une liste de prospects qualifiés.
Olivier Roland nous partage ensuite 5 étapes fondamentales à la création de votre entreprise:
Oubliez les détails inutiles, ce sont sur ces 5 étapes que vous devrez vous focaliser en priorité.
Créer son entreprise c’est bien, mais combien de projets sont avortés au bout d’un mois ?
Lors de la création de celle-ci, de nombreuses questions arriveront dans votre esprit.
Parmi celles-ci, la question du nombre de fondateurs est récurrente.
« dois-je créer mon entreprise seul ou à plusieurs ? »
Seul, il n’y a pas de désaccord possible, vous économisez du budget mais vos ressources seront limitées, vous n’aurez pas de soutien direct et vous risquez de procrastiner si vous n’êtes pas assez auto-discipliné.
À plusieurs, vous pouvez accomplir beaucoup plus, vous aurez du soutien et de la motivation mais vous risquez de ne pas tomber d’accord sur tous les points.
Des conflits potentiels peuvent survenir et vous vous associerez potentiellement avec des personnes n’ayant aucune complémentarité avec vous.
Peu importe votre décision, vous devrez toujours prévoir un plan B en cas d’échec.
Il est aussi intéressant de faire appel aux structures d’aide gratuites.
Prêtez aussi attention à la structure légale que vous choisirez: trop de personnes voient leurs biens se faire saisir en cas de faillite.
Une fois ces formalités finies, vous vous poserez sûrement la question de comment attirer l’attention de vos prospects.
Pour les atteindre efficacement, vous êtes libre d’utiliser les facteurs d’influence suivants:
Mais de manière générale, pour qu’une offre soit attractive aux yeux du prospect, il faut que sa valeur soit bien plus forte que son coût.
De cette manière, votre offre sortira aisément du lot.
Petite précision: les gens sont prêts à payer cher pour de l’information de qualité, alors n’hésitez pas à créer et vendre des info-produits.
Par contre, les gens ne sont pas prêts à faire confiance au premier venu sur internet.
Pour pallier ceci, Olivier Roland nous fait part des 3 piliers à développer:
Pour influencer votre audience, Olivier conseille de se référer au « SPIN Selling » de Neil Rackham:
La confiance et l’autorité d’un inconnu sur le net (vous) peuvent être créées à partir de témoignages-clients.
Pour en obtenir, 2 méthodes se présentent à vous:
Pour le lancement de son offre (produit ou service), Olivier Roland recommande aussi d’utiliser la « product launch formula » de Jeff Walker:
Faire un teasing de son offre avant son lancement puis la distribuer dans le cadre d’un événement autour de celle-ci.
Comme vous le savez, plusieurs systèmes seront en action au sein de votre entreprise (pour la comptabilité, le marketing, la finance..).
Si l’on part du principe que vous embaucherez des personnes pour développer votre activité, la compréhension de ces systèmes par ces dernières impactera alors directement la productivité totale de votre organisation.
Quel est le moyen le plus simple pour que les employés comprennent le fonctionnement de ces systèmes ?
Les procédures écrites.
Pourquoi ?
Il reste cependant important de remettre en cause régulièrement ces procédure grâce au « processus de ponctualisation »:
Lorsque quelque chose fonctionne mal, on passe alors d’une vision générale du système en question à une introspection et une analyse de tous les éléments qui le composent.
D’un point de vue productivité, internet est un outil indispensable. Il permet de déléguer certaines tâches à distance et même à l’étranger.
D’un point de vue global, automatiser sa boîte c’est devenir capable de s’offrir des « mini retraites » ponctuelles.
Le terme de « publicité scientifique » nous vient de Claude Hopkins et consiste dans le fait de tester continuellement différentes hypothèses et méthodes pour identifier la plus pertinente.
Votre entreprise fera obligatoirement l’objet de tunnels de vente (physiques ou digitaux).
Si vous souhaitez creuser ce sujet en détail, nous vous conseillons cet article.
Pour optimiser les conversions de vos funnels, il existe différentes méthodes.
Les logiciels ou des SaaS vous permettront d’obtenir aisément des métrics sur les résultats de chaque étape composant votre tunnel de vente.
D’autres vous permettront de garder les e-mails de vos prospects afin de mettre en place par la suite des campagnes d’e-mail marketing.
Pour collecter les adresses mail de vos prospects, la meilleure méthode reste de leur donner en échange accès à un contenu privé.
Pour finir, certains logiciels (comme Systeme.io), permettent la gestion automatique de toutes les étapes composants vos tunnels de vente.
L’auteur arbore ici un ton sincère et sans filtre, permettant au lecteur de comprendre clairement les enjeux et les méthodes possibles liés à la création d’une entreprise.
Ce livre est une bonne base si l’on souhaite intérioriser les concepts clefs de l’entrepreneuriat et quitter le « métro-boulot-dodo » pour « avoir une entreprise au service de sa vie plutôt que mettre sa vie au service d’une entreprise ».
Une chose est sûre: ce livre ravivera en vous la conviction que n’importe qui peut vivre sa vie comme il l’entend.
Côté structure, les concepts du livres sont illustrés par des histoires et des études de cas concrètes.
Vous y trouverez en plus de cela des exercices pratiques pour mettre directement en œuvre ce que vous lisez.
Quelques points négatifs cependant:
PS : pour aller plus loin dans le domaine de l’indépendance financière, lisez notre résumé du livre « Père riche, Père pauvre » de Robert Kiyosaki.
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